sylvie-et-michel-stephan

sylvie-et-michel-stephan

PARU aux Etats-Unis (2017)

The Sins of Madame Atomos

by Michel and Sylvie Stéphan

Adapted by  Michael Shreve

Published by Black Coat Press

 

 

http://www.blackcoatpress.com/fiction-madame-atomos-11-the-sins-of-madame-atomos.html#6e43d7c598b1672fb07f14f45bb9870f

 

 https://static.blog4ever.com/2015/03/798422/atomos11-01.jpg

 

 

"The Sins of Madame Atomos" paru aux Etats Unis en 2017 est l'adaptation anglaise du roman "Madame Atomos joue sur les maux" paru en 2015 chez Rivière Blanche.

 

Présentation du roman sur le site de l'éditeur Black Coat Press  ICI  (et il y a même la possibilité de lire le 1er chapitre... in english of course !)

 

 

https://static.blog4ever.com/2015/03/798422/atomos11-01.jpg

 

 


20/01/2016
0 Poster un commentaire

BIBLIOGRAPHIE

 

 

Romans

 

 

 

 

- La saga de Madame Atomos 7 : Madame Atomos sème la tempête  (2013) publié chez Rivière Blanche

paru aux USA sous le titre Madame Atomos sows the Whirlwind

in The Wrath of Madame Atomos published by Black Coat Press (2014)

 

 

 

 

 

 

- La saga de Madame Atomos 8 : Madame Atomos parie sur la mort  (2014) publié chez Rivière Blanche

paru aux USA sous le titre Madame Atomos bets on Death

in The Wrath of Madame Atomos published by Black Coat Press (2014)

Romans traduits par Michael Shreve

 atomos10-01.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

- La saga de Madame Atomos 9 : Madame Atomos joue sur les maux (2015) publié chez Rivière Blanche

paru aux Etats-Unis sous le titre

The sins of Madame Atomos published by Black Coat Press (2017)

Roman traduit par  Michael Shreve

atomos11-01.jpg
 

 

 

 

 

 

Nouvelles

 

Une écharpe de soie rouge

parue aux USA sous le titre The Red Silk Scarf

 

 

Les trois vies de Maddalena

parue aux USA sous le titre The Three Lives of Maddalena

 

 

Avec les compliments de Nestor !

parue aux USA sous le titre With the Compliments of Nestor Burma !

 

 

Soleil Andalou

 

 

Vampire au poing

parue aux USA sous le titre Vampire in the Fist

 

 

La dame blanche de Pourville

parue aux USA sous le titre The White Lady of Pourville

 

 

La maîtresse du Haut Château

parue aux USA sous le titre The Woman in the High Castle

 

 

L'odeur de l'Innommable

parue aux USA sous le titre Nestor Burma in New York

 

 

Le sous-marin "Le Rouge"

parue aux USA sous le titre The Submarine "Le Rouge" 

 

Moreau est vivant

parue aux USA sous le titre Moreau lives !

 

 

Les naufragés de la Rivière d'Argent

 

 

Un soir d'été à Holy Cross 

parue aux USA sous le titre One Summer Night at Holy Cross

 

 

Mobilis in mobili

 

 

L'odyssée de Madame Atomos

parue aux USA sous le titre The Odyssey of Madame Atomos


31/12/2015
0 Poster un commentaire

Un nouveau montage des classiques Universal dans les films d'édition Castle Films

 

arton28178.jpg

 

 

Il fut un temps où la pellicule argentique, pour ce qui nous intéresse ici le 8 mm et Super 8, faisait figure d'unique support pour le cinéma d'édition amateur.

En gros, dans les années 60, bien avant la démocratisation du magnétoscope, l'amateur moyennement fortuné, s'il voulait regarder autre chose que les photos de ses films favoris parues dans les divers Monsters magazines, pouvait se tourner vers les digests appelés encore featurettes. Il s'agissait bien sûr des extraits de films fantastiques, des vrais avec des images qui bougent.

Petit récapitulatif : avec un projecteur 8 mm ou Super 8 on pouvait se procurer dans les années 70, moyennant une grosse somme d'argent, un film dans son intégralité (en France, Tumak fils de la jungle chez « Les grands films classiques », Les chasses du Comte Zaroff chez « Frandfilmdis »). En Angleterre, le choix était plus important (Les cicatrices de Dracula chez « Derann », La nuit des morts-vivants chez »Regent films »en sont là les meilleurs exemples.)

Rien à voir avec les DVD, ni avec les vidéoprojecteurs actuels. Souvent de grosses bobines, plusieurs et jusqu'à six de 120 m pour un seul film, et de plus, bien sûr, un projecteur conséquent pour une surface d'image moyenne mais restant toutefois plus grande qu'une image de télévision.

Bon ça, c'était pour ceux qui avaient beaucoup d'argent. Se payer une filmothèque était bien sûr très onéreux. Rien à voir avec le prix des DVD.

 

Restaient alors, et c'est essentiellement cela qui nous intéresse, les featurettes ou films condensés. Généralement en 60 ou 120 m, ce qui représente, mettons 12 mn environ pour le 60 m et 20 mn pour le 120 m.

Et ce qui nous intéresse encore plus, car nous allons rester sur cette catégorie de films, c'est essentiellement le remontage de ces films. Remontage fort intéressant pour certains car il entraîne parfois une réécriture de l'histoire. Pour être plus clair, nous allons prendre une catégorie de films édités aux Etats-Unis au cours des années 70, je veux parler de la firme Castle Films qui distribuait presque tout le catalogue de la firme Universal, nous allons nous repasser ces films en détails et la surprise va être grande quant au remontage de certains.

 

2cngkjm.jpg

Frankenstein de James Whale (1931)

Rien à dire. En 12 minutes, le film suit les grandes lignes de l'histoire et se termine par la mort du baron, respectant en cela la vraie fin voulue par James Whale.C'est à dire que Frankenstein est laissé pour mort .

 

La fiancée de Fankenstein de James Whale (1935)

Le condensé suit également les grandes lignes, mis à part deux changements essentiels. Pour la première fois dans l'histoire du cinéma, le visage de la fiancée avant l'opération nous est montré. C'est un visage de jeune fille qui semble dormir paisiblement dans son cercueil. Pour ce faire, le monteur de la featurette a pris une image lors de l'arrivée du monstre (Karloff) dans le caveau. Celui-ci transperce maladroitement un cercueil avec son pied, laissant apercevoir un visage de jeune fille. Et cette image est intercalée pendant l'ouverture du deuxième cercueil par Prétorius et les Body Snatchers, donnant pour ce condensé Castle Films un visage à Magalena Ernestine qu'elle n'avait jamais eu dans la version cinéma.bride.jpg

Le deuxième changement concerne le dénouement. Ici Colin Clive ne fuit pas avec sa fiancée et reste prisonnier de la tour, c'est d'ailleurs ce qu'avait voulu Whale qui avait conservé le plan de la silhouette du savant dans le laboratoire lors de l'explosion. La featurette répare cette injustice. Colin Clive périt bien dans l'effondrement de la tour, ainsi que Prétorius et les deux créatures. Le souhait du réalisateur est encore respecté.

 

The ghost of Frankenstein de Erle C Kenton (1942)

On passe rapidement sur Le fils de Frankenstein qui est une featurette absolument parfaite où tout le film est condensé en 12 mn pour en arriver au Fantôme.

Ici c'est un gros changement puisque le film est séparé en deux bobines de 60 m ayant chacune un titre différent et un montage fort étrange, bien que très habile.

Le premier film s'appelle : The Trial of Frankenstein.

Et le montage de ce condensé est absolument stupéfiant. Les toutes premières images reprennent le début du film (Lugosi jouant de la flûte devant le monstre qui surgit de la lave) mais ignore la destruction du château par les villageois. Il est vrai que, pour une fois, cette destruction avait lieu en début de film et non pas à la fin, comme de coutume. La featurette va donc replacer ces images de destruction en fin de bobine, ce qui nous semble alors parfaitement logique. Pendant ce condensé, nous avons droit à l'arrivée de Lugosi et du monstre au village, à la scène du ballon avec la petite fille et à celle du tribunal. Et le tout se termine par l'explosion du château que Kenton avait, lui, placée au tout début de son long métrage. Seul, un plan de quelques secondes montrant Lon Chaney s'écrouler sous une poutre (mais il est vrai qu'à Universal, les monstres de Frankenstein aimaient à se faire assommer par des poutres), nous indique que le monstre est, bien logiquement, mort. C'est l'unique scène qui appartient à la fin du film original. Nous pouvons dire que la firme Castle Films a réalisé un remontage parfait d'un film qui ne l'était pas moins.

Le deuxième condensé, Frankenstein new brain, commence de façon brutale et un peu illogique, le début ayant servi pour la première bobine. Nous voyons ici le monstre apparaître au détour d'un laboratoire et l'action est immédiate. Il s'agit de l'opération du Monstre qui doit recevoir le cerveau d'Igor. Frankenstein new brain est plus faible que The trial of Frankenstein, car ce condensé ne fait que suivre la fin du long métrage et l'on sent qu'il n'y a pas eu de véritable remontage de scènes.

36462_1325946393106_1364286104_30747620_5065177_n.jpg

 

Frankenstein rencontre le loup garou de Roy William Neil (1943)

Pas de changement notable dans le scénario. Juste un détail amusant au début à l'arrivée des deux Body snatchers. Dans le film original, lors du réveil de Larry, on n'assiste pas à la transformation du loup garou. Mais, dans la featurette, comme dans La fiancée de Frankenstein, a été intercalée une image, ici celle de Lon Chaney sur son lit d'hôpital à Cardiff, ce qui fait que celui-ci repose dans son cercueil avec un oreiller, avant de se métamorphoser.

bb60a34288bbdc5c63c843e95f0f2a20.jpg

House of Frankenstein de Erle C Kenton (1944)

Comme dans Le spectre, Castle Films a découpé La maison en deux bobines de 60 m. Mais ici, Kenton a mâché le travail. Le long métrage possédait déjà deux parties distinctes où les monstres venaient faire leur numéro chacun leur tour. Dans la première, John Carradine interprétait le rôle de Dracula face à un Karloff et à un Caroll Naish fort peu sympathiques. Castle Films en tire donc une première bobine de 60 m intitulée Doom of Dracula, titre traduit en français par Film Office par La fin de Dracula. Jean-Pierre Bouyxou ne devait d'ailleurs pas s'y retrouver dans son livre La science-fiction au cinéma et attribuait cet extrait au long métrage The house of Dracula. Il faut reconnaître que le titre La fin de Dracula est trompeur, alors que l'extrait en question vient bien de la première partie de House of Frankenstein. Le scénario de la featurette ne diffère pas de celui du long métrage : réveil du vampire, poursuite et mort de celui ci.

Le second extrait de 60 m reprend le titre du film original, c'est à dire House of Frankenstein, et suit également le scénario de la deuxième partie du long métrage, jusqu'à la fin. Lon Chaney y fait son apparition mais l'élément féminin y est supprimé.

 

House of Dracula de Erle C Kenton (1945)

Pour le dernier long métrage sérieux, si l'on peut dire, de la saga frankensteinienne, Castle Films découpe à nouveau le film en deux parties de 60 m. Mais cette fois-ci, elle n'inclue pas le monstre.

Le premier extrait reprend le titre du film House of Dracula et suit également le même scénario : arrivée du vampire incarné par John Carradine et sa mort.

Le deuxième extrait s'intitule The Wolfman cure et nous conte la transformation et la guérison du loup garou, rôle tenu par Lon Chaney. Là aussi, le scénario du long métrage est respecté, si ce n'est qu'à aucun moment n'apparaît la créature de Frankenstein, pourtant bien présente dans le film original.

 

Castle Films publiera enfin un dernier titre Abott et Costello contre Frankenstein, dernier de la série, lui aussi en 60 m. Rien ne change au niveau du scénario et le film réussit l'exploit de réunir en 12 mn les quatre monstres vedettes de l'Universal : Dracula, le loup garou, le monstre de Frankenstein et l'homme invisible.

 

Voilà pour la saga des Frankenstein en Super 8. Castle Films a procédé également à d'autres coupes, qu'il serait fastidieux de toutes citer ici, d'autant que la firme a changé de nom à la fin des années 70 pour devenir Universal 8, doublant la longueur de certaines bobines en 120 m et 120 m x 2, ce qui a entraîné d'autres coupes et remaniements.

 

Pour rester chez Castle Films, on pourrait citer aussi les changements de plan dans la bobine Battle of the giants tirée du film Tumak fils de la jungle où Carole Landis se fait molester par des hommes préhistoriques avant l'attaque des Monstres, alors que dans le long métrage, elle ne se fait brutaliser qu'après. Ce montage étrange n'a aucune incidence sur la compréhension de l'histoire, ce qui ne le rend que plus troublant.

 

Il y eut aussi en France du remontage et des changements de titres. Il suffit de citer les films de Jean Rollin publiés chez Film Office au début des années 70.

La vampire nue se retrouve découpé en deux parties : Le club des suicidés, bobine de 60 m, et Le château des immortels, bobine de 120 m.

Quant au Viol du vampire, il est remonté en trois bobines : la première est intitulée Le viol du vampire comme le long métrage, elle fait 60 m et contient l'histoire telle qu'elle a été tournée par Jean Rollin, sans rajouter de scènes additionnelles. La deuxième bobine fait aussi 60 m et s'intitule Un mariage chez les vampires, il s'agit de l'extrait tourné dans l'ancien théâtre du Grand Guignol. Quant à la troisième bobine, de loin la plus intéressante, elle fait également 60 m et s'intitule La reine des vampires. Elle est intéressante car elle contient des scènes de flagellation qui avaient été censurées sur le long métrage.

 

Le visionnement de tous ces films permet d'avoir une lecture et une relecture de certains chefs d'oeuvre que nous avons vus et revus mais que nous regardons toujours avec énormément de plaisir.


30/06/2015
0 Poster un commentaire

Dimension Merveilleux Scientifique

Dimension Merveilleux Scientifique

Parution en juillet 2015 de l'anthologie Dimension Merveilleux Scientifique présentée par Jean-Guillaume Lanuque.

Textes de Béryl Asterell, Alain Blondelon, Jean-Luc Boutel, Florence Cochet, Bertrand Dumeste, Julien Heylbroeck, Gulzar Joby, Sylvain Lamur, Jean-Guillaume Lanuque, Angou Levant, Faust Netschaiev, Luc Pleudon, Alexandre Rallo, Alain Rozenbaum, Michel Stéphan et Jean-François Thomas.

Préface de Natacha Vas-Deyres.
Reproductions d'illustrations anciennes.

Le merveilleux scientifique, c'est cette science-fiction d'antan, un genre qui ne portait pas encore son nom d'aujourd'hui, et qui, durant plus d'un siècle, de 1850 à 1950, enchanta des générations de lecteurs à travers ses récits souvent feuilletonnesques, remplis d'explorateurs, de savants géniaux, de formes de vie différentes ou de fins du monde effrayantes.
Remis au goût du jour par le biais de certaines publications de Rivière blanche (le Nyctalope, Les Compagnons de l'ombre) ou de bandes-dessinées (La Brigade chimérique, Les Sentinelles), le merveilleux scientifique a enfin son anthologie propre. Quatorze nouvelles inédites rendent ainsi hommage à tout un pan de la littérature de l'imaginaire, vous transportant dans les univers de Georges Méliès, Maurice Renard, José Moselli ou Léon Groc, mais croisant également le merveilleux scientifique avec la féérie, l'humour, les mythes régionaux ou révolutionnaires. La suite...

A voir aussi  : Sur l'autre face du monde, le site des passionnés du Merveilleux Scientifique. 

 

https://static.blog4ever.com/2015/03/798422/artfichier_798422_5386700_201512312630156.jpg


17/06/2015
0 Poster un commentaire

Paroles de fans

az.jpg


12/05/2015
1 Poster un commentaire


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser